Soucis de voiture et de lave-vaisselle. A mépriser ? A moitié. Paresse des pieds et des mains. Les machines devraient aider à la glandouille. Elles poussent au burn-out. Système à changer. Comment ? Là s’arrêtent mes compétences. Je vois que le mur dans lequel on se jette est proche. Je freine. Les freins lâcheront-ils ? D’après mon garagiste, non, d’après le type du service des autos, oui. Les spécialistes ne sont pas d’accord. Faut-il sortir de l’euro ? Là aussi, mes compétences sont dépassées. De toute façon, en Suisse, on ne se mouille pas, puisque le franc reste fort, trop fort pour nous, créateur de chômage mais pas trop pour qu’on n’attaque pas de front le système. Bref, tout se déglingue, sauf mon lave-vaisselle, enfin réparé. Il faudrait peut-être y fourrer le système, quand on l’aura déniché, ce foutu système, parce que s’il est un mot qui ne veut rien dire, c’est bien ce mot système.