Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, Le salut, 1944-1946
- Vincent Francey
« réfugié »
(il n’y a plus, nous en sommes conscient, de réfugiés, le mot désormais en vogue étant celui de migrants, il serait plus précis de qualifier ainsi Jean-Richard Bloch, mais nous ne pouvons nous y résoudre tant celui-ci sait se tenir en société.)
en Russie,
(terre d’exil, la Russie ? Jean-Richard Bloch n’est pas Gérard Depardieu, tant s’en faut, il a l’élan longiligne de l’échassier et faute de s’être hissé au rang de héros ferait un très crédible héron.)
me présentait les uns et les autres
(chacune et chacun, toutes et tous, interchangeables pantins venus se pavaner devant mon auguste personne.)
avec une bonne grâce
(Jean-Richard Bloch, s’il avait de la bonne grâce, tout le monde savait que c’était – du moins le chuchotait-on dans les alcôves – grâce à la bonne.)
contrainte.
Brefs commentaires insérés dans une phrase du général de Gaulle.
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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