Pour ou contre ce n’est pas la question parce que les faits sont têtus et qu’on ne peut pas faire comme si les faits n’étaient pas les faits or les faits, il faut l’admettre, ne sont pas l’idéologie, ils sont les faits, les faits bruts, les faits qui font que de fait les faits sont les faits, alors ne faisons pas semblant de ne pas voir qu’un chat est un chat et qu’un fait est un fait, n’en déplaise aux doux rêveurs écolo-tunbergo-neuneu qui rêvent du haut de leur inconscience des réalités réelles du monde réel que la vérité véritablement vraie qui est constituée par les faits alternatifs de l’incontournable réalité néo-libérale ne seraient pas aussi vraiment vrais qu’ils le sont, étant donné qu’un fait n’est réel que s’il est l’énoncé de Donald Trump, d’Emmanuel Macron, de Christian Lüscher ou de Bill Gates, puisque tout énoncé énoncé par des esprits si supérieurs à l'instinct animalo-gauchiste du commun des mortels qui ne comprennent rien de rien à la réalité macro-économique d’une vérité vraie réellement réelle pour laquelle il est strictement impossible de s’extraire des schèmes de pensées – subséquemment des réalités vraies et des vérités réelles – du néo-libéralisme dont le discours n’est rien de plus ni de moins que le calque de la réalité factuelle – par conséquent des faits réels qu’ils soient perceptibles ou non au reste de la colère de Dieu que représente le peuple ignare qui ne pige rien au ruissellement des richesses ainsi qu’à la nécessité réellement nécessaire d’une efficience économico-financière dont personne aujourd’hui ne saurait contester sans la mauvaise foi la plus crasse la plus-value manifeste – les énoncés néo-libéraux, précisions-nous à la fange imbécile drapée de feinte colère qui manifeste en rond dans les villes vendues à la pensée – si tant est que de tels réflexes pavloviens puissent s'apparenter de près ou de loin à un embrion de pensée – disons plutôt, car ici le terme se justifie pleinement, à l'idéologie pseudo-bobo-branchée qui n’est qu’un avatar de l’indépassable réalité néo-libérale dont nous ne saurions nous extirper sans nous jeter dans les bras chimériques du poète solitaire mélanchono-zieglerien dont les fantasmes hurluberlus ne sont que le romantique effet de son abyssale absence de bon sens, le bon sens étant la chose la mieux partagée au monde et le bon sens étant intrinsèquement lié à la réalité factuelle réellement factuellement vraie qui se manifeste par et pour la pensée néo-libérale, tout autre énoncé que ceux précités – a fortiori le discours stalino-hugolien que je vous accuse de proférer à tort et à travers, messieurs les nostalgiques de Pol Pot et de du KGB, discours qui n’est tout compte fait que mensonge éhonté – toute parole hors du cadre néo-libéral, toute pensée qui s’en évaderait afin d'inventer un monde de bisounours où tout les gens ils sont gentils et ils veulent le bonheur de tous, des pauvres et des riches qui se donnent la main pour former une grande chaîne humaine de la solidarité que rien jamais ne pourrait rompre alors que la réalité réellement réelle de tout temps a été et sera la guerre de tous contre chacun, tout espoir de vous en sortir quand vous êtes par votre propre faute responsable d'être resté durant toute votre vie dont on peut se demander si elle vaut vraiment réellement factuellement la peine d'être vécue un assisté, toute remise en question de la sacro-sainte parole d'évangile néo-libérale est toujours de fait en réalité factuelle vraiment vraie une pure et simple absurdité.