Jussi Adler-Olsen, Miséricorde
Tout d’abord, il faut – du moins la mode l’impose – venir du nord, par exemple du Danemark.
Ensuite, il faut un héros cabossé par la dure vie de commissaire de police en échec sentimental, social et professionnel, du genre Carl Mørk, bourru mais attachant, comme il se doit.
Il faut bien sûr aussi que le méchant soit bien pervers et qu’il commette des actes ignobles, du genre enfermer une jeune femme pendant des années dans une pièce lugubre en augmentant petit à petit la pression atmosphérique.
Enfin, il faut du suspense, des fausses pistes, des rebondissements et une fin sinon heureuse, du moins pas trop décevante pour le flic.
Miséricorde mélange tout cela. Nous sommes donc en mesure de lui accorder le label de bon roman policier.
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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