Peter May, Les fugueurs de Glasgow
Cinq adolescents écossais dans le vent décident un jour de fuir la monotonie de la banlieue de Glasgow pour les fastes londoniens, le succès facile et la belle vie.
La fuite tourne vite à la catastrophe : embuscade minable dans la campagne anglaise, course-poursuite pour sauver une fille à Leeds, amours fatales, drogues et folie, l’envers des sixties frappe de plein fouet les cinq faux Beatles.
Trois vieillards écossais plus du tout dans le vent décident un jour de revenir sur les traces de leurs lamentables exploits. La seconde fugue ne tourne pas mieux que la première mais éclaire les points obscurs laissés en suspens pendant cinquante longues années d’échec.
Le temps qui passe, la vie qu’on rate, l’espoir qui se cogne à la triste réalité, les décisions imbéciles qu’on passe sa vie à regretter, ce roman les montre sans fard, laissant au lecteur une pointe de mélancolie qui lui pince un instant le cœur.
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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