Photogriffouille 69
On a peu dormi. On a eu froid.
On reprend le sentier pour descendre.
Puis on regarde et on se tait.
La montagne impose le respect, le silence et la contemplation. Devant elle, on n’est rien. Il suffirait d’un faux pas, d’un éboulis, d’une glissade et la montagne se retrouverait à nouveau seule.
Ce serait mieux ainsi : nous n’aurions pas écrit dans le vide.
Commentaires et réponses
A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
Commentaires :