Blog suisse de littérature

3 mai 2015

Faire de la musique, faire de la musique (à la place du bain). Est-il une joie plus nécessaire que celle de la musique ?

Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela ne veut pas dire, cela veut chanter, cela veut vivre léger, cela veut s’envoler et cela veut rigoler aux gags de Nanoul et de Sébastien, nounours basses irrésistibles.

Il y a musique quand il y a plaisir. Rêver de la fille qui chante au lit son ravissement (de la fille ravie au lit, encore un hommage au nounours Sébastien).

Il y a musique quand le plaisir est partagé, quand, après avoir tâtonné dans le noir, on trouve une loupiotte, une bougie ou une ampoule électrique que James a savamment électrifiée.

Il n’y a pas musique quand il y a James.

Retour à la case départ. La musique se mérite. Elle exige des efforts, des heures de frustration, de la répétition à outrance pour, fragile jusqu’à la perfection, éclater sous les doigts, dans la voix, dans le c(h)œur.

Si Dieu existe, il est musicien. Son prénom ? Jean-Sébastien, Wolfgang Amadeus (qui s'aime Lui-même) ou Thelenious ? Je me souviens qu’il est doux et sonore.


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A propos

Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.

Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.