Benjamin Britten, Nicolas devotes himself to God
Britten raconte un homme seul perdu dans les tourments de la foi. Que baragouine-t-il en roulant ces « r » britishs ? Je n’y comprenne rien, mais il est clair que ce Saint Nicolas ne s’est pas encore laissé pousser la barbe. Il se tient immobile devant son miroir, pas trop sûr, après la mort de ses parents (ça, j’ai compris), de ce qu’il va bien pouvoir faire de sa vie.
Désespoir ? Conversion ? Le choix est corsé et le pari fou, souligné par de violents violons. Nicolas partira, il se fera pèlerin et il tourmentera les bouchers.
A Fribourg, à côté de la cathédrale, c’est la rue des bouchers. Hasard ? Providence ? Divine ironie?
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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