Ce (pron. dém.)
C’en ne sent pas s’en.
C’est ne sait pas qu’il s’est su.
Alors, ils se confondent, puis ils s’apprennent sans se comprendre, puis ils s’oublient.
Ils ce trompent.
Les infâmes homophones grammaticaux pullulent.
S’en est trop.
Est-ce assez de passer du s au c ou est-ce trop ?
Changeons le ce en ça et sa ira mieux.
Où pas.
Commentaires et réponses
A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
Soyez le premier à commenter