Le bel Hubert, La main verte
Le bel Hubert chante sa jolie fleur en oubliant la peau de vache de tonton Georges.
Il jardine avec délicatesse sa sacrée dicotylédone, il la bichonne, il la rempote (que c’est bon de rempoter, presque autant que tripoter !), il la masse et lui fout le feu à la tige tant et si bien que bientôt l’on pourra lui compter fleurettes.
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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