Théâtre d’Avenches
Trouver la légèreté dans l’élan, la retenue dans la passion, l’équilibre dans l’Italie.
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Parole de chef : « Des mollusques dans les basses. »
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Il faudrait qu’on nous greffe une nouvelle langue, qui ne servirait qu’à chanter en italien.
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Le pianiste a des tics. On ne les entend pas.
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« En vous murmurant des propos d’amour. » Où sont passées les brunes cigarières ?
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Ça crie, ça hurle, ça stride, et ça croit que ça chante.
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Beve con me, buvez, titubez, écroulez-vous, mais a tempo.
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Comment un chœur d’opéra peut-il devenir autre chose qu’une juxtaposition de solistes cherchant à chanter plus fort les uns que les autres ?
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Le chef fait de la dentelle, les hurleurs de la cote de maille.
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Respect infini des amateurs pour le chef. Respect infini des semi-pro pour eux-mêmes.
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« Cela monte à la tête. » Le tourni des cigarières : une limonade à peine distillée.
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Parole de chef : « Il y en a quelques-uns qui ont des heures de vol. »
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« Ça vous met l’âme en fête. » On s’arrête sur l’amant. Jusqu’à ce que ça sonne juste.
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Parole de chef : « Ça, c’est tout faux. Pas de pédagogie du positif. »
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Hier l’accoustique : faut pas cacher la merde au chat (toujours le chef).
Commentaires et réponses
A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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