Thomas Fersen, L’enfant sorcière
Les moldus n’avaient encore rien compris. Ils récitaient des prières qui faisaient peur, s’habillaient de noir, punissaient ceux qui n’y pigeaient rien.
Les enfants sorcières, en ce temps-là, mouraient pour rien.
Puis elles se relevaient. Toujours pour rien.
Car à la fin, c’était toujours le feu qui l’emportait.
Commentaires et réponses
A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
Soyez le premier à commenter