Wolfgang Amadeus Mozart, Credo de la Missa Solemnis K.337
Le credo, c’est un cri de joie bien pompeux puis c’est soudain Dieu qui se fait homme dans la voix d’une femme et dans la lamentation de la croix à clous de hautbois. Puis la résurrection réveille le chœur endormi qui soudain dit « non », comme s’il n’y croyait plus.
Tout ça, c’est du théâtre, semble se dire le bon Wolfgang, mais c’est une si jolie légende ; on pourrait pas y croire un chouia, juste pour le plaisir ? Le Saint Esprit vole avec plus de loopings que les aviateurs.
Mais l’Eglise catholique, Une et Sainte, se pointe, martiale et courroucée : vous y croyez ou pas ? Faudrait savoir !
- Oui, oui, on y croit, on chante plus fort si vous voulez, monsieur le curé. Voilà. Amen.
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A propos
Lie tes ratures, littérature, ce blog se veut l'atelier de mon écriture. J'y déverse en vrac des notes prises au jour le jour, l'expansion de ces notes en des textes plus élaborés, des réflexions et des délires, des définitions et des dérives, bref tout ce qui fait le quotidien d'un homme qui écrit, ici, en Suisse, ailleurs, dans mes rêves et à travers le monde qui m'entoure.
Bref, ce blog suisse de littérature partira dans des directions variées qui, je l'espère, sauront vous parler.
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